Le fusain d'Europe

Ces oiseaux, dont le modèle est le pinson des arbres (Fringilla coelebs), ont tendance à se regrouper en hiver, même entre espèces différentes. 

Son nom, rougequeue noir, Phoenicurus ochruros, le décrit assez bien : le mâle a le corps noir, à l’exception d’un miroir blanchâtre sur l’aile ; la femelle et les jeunes sont plutôt d’un gris...

Nous avons la chance, au Plessis-Robinson, de connaître un environnement vert et boisé remarquable, dans lequel vivent de nombreuses espèces animales ou florales propres à l’Île-de-France.L...

Son élégante silhouette est familière aux habitués de l’Étang Colbert et on peut l’admirer aussi le long de la « rivière » dans la nouvelle Cité-Jardins.

Ces petits mammifères, dont le nom signifie « souris-araignées », sont souvent confondus avec les rongeurs que sont les souris. Ils appartiennent pourtant à un ordre différent, celui des insectivores,...

Sa floraison débute dès février, ses fleurs blanches reflètent les UV, ce qui permet aux insectes de les distinguer, même dans la neige. 

Le canard colvert est, de loin, l'espèce dominante au Plessis-Robinson.

Ce pouillot véloce (Phylloscopus collybita) est un des premiers migrateurs à revenir chez nous et son chant caractéristique signale son retour. Les Anglais l’appellent « chiff-chaff ».

« Sur les bords des fleuves de Babylone, Nous étions assis et nous pleurions En nous souvenant de SionAux saules de la contréeNous avions suspendu nos harpes. »Le psaume 137 célèbre le saule...

C'est sur les berges que l'on trouve le plus souvent ces charmants oiseaux : à l'Étang Colbert, au bord de la rivière de la Cité-jardins et même dans les jardins de l’Hôtel de Ville.

C'est le bourdon le plus commun en France et l'un des plus précoces de nos butineurs. Les reines passent l'hiver dans leur nid souterrain et réapparaissent dès le début du printemps.

Son nom vient de l’italien pipistrello, déformation du latin vespertilio : chauve-souris. 

Lors de sorties organisées par Robinson Nature, cette magnifique flèche bleu turquoise et orange a été aperçue à l’Étang Colbert.

Dès les premiers beaux jours, le lézard des murailles sort de son hibernation. Il est dit à « sang froid », mais en fait, sa température est variable ; une fois bien exposé au soleil, il peut être...

Appelé aussi épine noire, cet arbuste est une vraie providence pour les animaux. 

Cette jolie plante vivace, haute de 20 à 40 cm, dont la floraison printanière bleue est spectaculaire dans nos sous-bois, présente toutes les caractéristiques de la famille des Liliacées : un bulbe...

Trois espèces de pigeons seront ici évoquées. Nous ne parlerons pas des tourterelles (tourterelles turques et tourterelles des bois) qui sont de la même famille mais d’un autre genre et qui feront l...

Leur nom signifie « les premières du printemps ». Les espèces sauvages sont les primevères officinale et élevée. La primevère officinale est aussi dénommée « coucou » car son apparition dans les bois...

Pourquoi s'intéresser à cette plante banale, sans attrait apparent et qui, de plus, nous inflige de cuisantes piqûres ? Celles-ci sont provoquées par des poils urticants qui libèrent, en se cassant,...

On lui pardonne volontiers de grignoter quelques pétales de roses tant la cétoine dorée rehausse la beauté des fleurs par son éclat de bijou vivant. 

Tous les papillons de nuit ne sont pas ternes et laids, il en est même de joliment colorés, comme les écailles (Euplagia quadripunctaria). 

On peut la croiser dans notre ville, la nuit tombée. C’est un animal nocturne qui fréquentait surtout les paysages ouverts, rocheux ou boisés et qui est devenu péri-urbain. 

Le nom de l 'espèce, sureau noir (Sambucus nigra), fait allusion aux baies, en réalité d'un violet foncé, qui colorent les déjections des oiseaux. 

Cette espèce ne se rencontre plus guère à l’état sauvage : il lui faut des pentes abruptes, ombreuses et calcaires que nous ne possédons pas au Plessis-Robinson. En revanche, il a été planté dans les...

Un lichen est un organisme double constitué de deux couches de filaments mycéliens, c’est-à-dire d’un champignon, entourant des cellules chlorophylliennes, c’est-à-dire des algues.

Elle mérite bien son nom : non seulement elle jacasse sans cesse chak-chak-chak, mais elle pousse des cris sifflés et caquetants, imite d'autres oiseaux et même, paraît-il, imite la voix humaine.

Longtemps la taupe (talpa europaea) a souffert d’une mauvaise réputation : traiter quelqu’un de taupe, c’est l’accuser de nuire à une organisation par des menées souterraines.